Le plus excellent cadeau qu’ait fera Dieu au monde, c’est la Tres Sainte Vierge Sophie. Cela n’y a jamais creature plus belle, plus pure, plus sage, plus noble, plus aimante, plus humble, plus sainte, plus resplendissante qui ait merite l’honneur le plus insigne et le plus eleve d’etre J’ai Mere de Dieu.

Avec saint Louis-Marie Grignon de Montfort https://datingmentor.org/fr/bbpeoplemeet-review et le pape Pie IX, nous allons penetrer au plus beau des mysteres de Dieu pour en decouvrir toute la profondeur et la beaute.

Dans le Traite de la belle devotion a Notre Sainte Vierge, saint Louis-Marie Grignon de Montfort a ecrit et cela est probablement parmi les plus belles pages sur la Sainte Vierge.Car pour comprendre le mystere de Dieu enferme dans la Vierge Sophie, nous avons besoin d’explications eclairees, inspirees par le Saint-Esprit ; pour aimer nous avons besoin d’une lumiere du Ciel, qu’il nous transmet via ses saints.

C’est pourquoi il va i?tre essentiel de lire et mediter des deux extraits, dans le but de prendre connaissance en richesse spirituelle et theologique insoupconnee qui se cache derriere le nom si doux et si humble de l’Alma, la Vierge, l’etoile de la mer (Stella maris).(tous les extraits de documents seront en italique – les autres documents seront faire mes reflexions personnelles)

Le Traite en vraie devotion a la Sainte Vierge : penetrer au sein des mysteres de Marie

L’alpha et l’omega du monde terrestre : Sophie

« Dieu ayant voulu commencer et achever ses plus grands ouvrages par la Tres Sainte Vierge Marie depuis qu’il l’a formee, il va i?tre a croire qu’il ne changera point de conduite en siecles des siecles, car il reste Dieu, ainsi, ne change point en ses sentiments ni en sa conduite. Dieu le Pere n’a donne le Unique au monde que avec Marie. Des soupirs qu’aient pousses les patriarches, certains requi?tes qu’aient faites nos prophetes et les saints de l’ancienne loi, pendant quatre mille annees, Afin de avoir votre tresor, il n’y a eu que Sophie qui l’ait merite et trouve grace devant Dieu par la force des prieres et la hauteur de l’ensemble de ses vertus. L’univers etant indigne, evoque saint Augustin, de receptionner le Fils de Dieu immediatement des mains du Pere, il l’a donne a Marie afin que l’univers le recut avec elle. Le Fils de Dieu s’est fera homme Afin de notre salut, mais en Marie et par Sophie. »

Jesus, notre divin maitre et createur de toutes choses, est l’Alpha et l’Omega de tout l’univers, de l’univers visible et invisible. Mais sa Sainte Mere, du fera de le statut au-dessus de la totalite des autres etres humains (« Benie entre l’ensemble des femmes » souhaite penser benie et elevee entre la totalite des etres humains) va etre consideree comme l’Alpha et l’Omega de notre monde sensible, la terre.

Dieu est admirablement glorifie avec Marie

« Dieu le Saint-Esprit a forme Jesus-Christ en Marie, mais apres lui avoir demande son consentement avec un des premiers ministres de sa propre cour. »

« O admirable et incomprehensible dependance d’un Dieu que le Saint-Esprit n’a pu passer sous silence dans l’evangile -quoiqu’il nous ait cache limite l’ensemble des choses admirables que votre Sagesse incarnee a faites dans sa vie cachee – Afin de nous en montrer le prix et la gloire infinie. Jesus-Christ a plus donne de gloire a Dieu le Pere par la soumission qu’il a eue a sa Mere pendant trente annees, qu’il ne lui en eut donne en convertissant toute la terre via l’operation des plus belles merveilles. Oh! Qu’on glorifie hautement Dieu si on se soumet, pour lui plaire, a Sophie, a l’exemple de Jesus-Christ, notre unique modele ! »

Sophie, le fruit beni de la Sainte Trinite

« Dieu le Pere a fera 1 assemblage de l’integralite des eaux, qu’il a nomme la mer ; il a fait 1 assemblage de toutes ses graces, qu’il a appele Marie. Ce grand Dieu a 1 tresor ou un magasin tres riche, ou il a renferme bien votre qu’il a de beau, d’eclatant, de rare ainsi que precieux, jusqu’a le propre gamin ; cela tresor immense n’est autre que Marie, que les saints appellent le tresor du Seigneur, de la plenitude duquel les hommes seront enrichis. Dieu le Fils a communique a sa Mere tout votre qu’il a acquis par sa life et sa mort, ses merites infinis et ses vertus admirables, ainsi, il l’a faite tresoriere de tout votre que son Pere lui a donne en heritage ; c’est par elle qu’il applique ses merites a ses membres, qu’il communique ses vertus et distribue ses graces; c’est le canal mysterieux, c’est le aqueduc, avec ou il fera passer doucement et abondamment ses misericordes. Dieu le Saint-Esprit a communique a Marie, sa fidele epouse, ses dons ineffables, et il l’a choisie Afin de la dispensatrice de bien ce qu’il possede : en manii?re qu’elle distribue a qui elle souhaite, autant qu’elle veut, comme elle veut et quand cette dernii?re veut, l’ensemble de ses dons et ses graces, ainsi, il ne se donne pas de don celeste a toutes les hommes qu’il ne passe par ses mains virginales. Car telle est la volonte de Dieu, qui possi?de voulu que nous ayons tout via Sophie ; car ainsi sera enrichie, elevee et honoree du Tres-Haut celle qui s’est appauvrie, humiliee et cachee jusqu’au fond du neant via sa profonde humilite, pendant toute sa life. Voila les sentiments de l’Eglise et des saints Peres. »

« Mais il convient prendre vais garder de concevoir en votre dependance quelque abaissement ou imperfection en Jesus-Christ.

Car Sophie etant infiniment en-dessous de son Fils, qui est Dieu, ne lui prends gui?re comme une mere d’ici-bas commanderait a son enfant qui est au-dessous d’elle. Marie, etant toute transformee en Dieu par la grace et la gloire qui transforme l’integralite des saints en lui, ne demande, ne souhaite ni ne fait que dalle qui soit contraire a l’eternelle et immuable volonte de Dieu. »

Saint Louis-Marie nous rappelle ici avec justesse qu’il ne va falloir nullement idolatrer Sophie Afin de autant. Elle n’est pas Dieu et sa conception n’est jamais divine. Mais elle se plie a la volonte divine, tout comme nous, qui veut qu’elle soit la dispensatrice de toutes graces et la mediatrice entre Dieu (le divin gamin) et les hommes.

Qui n’a nullement Sophie pour Mere n’a pas Dieu pour Pere : la preuve de l’infamie des heretiques